Marcus Volturi est mon nom aujourd'hui, il n'en fut pas toujours le cas. -1350 avant Jesus Christ, je naissais sur ce qui devient bien plus tard l'empire de Rome ou encore l'Italie actuelle. Je n'ai pas en souvenir le prénom qui m'a réellement été attribué à cette époque, peut-être que c'était déjà Marcus, bien que j'en doute sincérement. Cependant, je me souviens d'une vie de banal paysan qui n'avait guère à se soucier que de sa récolte, de sa chasse et de la gestion de son lopin de terre qui ne payait pas de mine. Rien ne m'avait préparé à ma prochaine.
Puis je croisa la route d'Aro Volturi et ma vie bascula pour devenir celle d'un vampire. Je n'ai jamais compris l'intéret que me porta mon frère vampirique à cet époque et ne saurait dire si je lui en fut réellement reconnaissant, un temps sûrement. Le temps de se sentir surpuissant, empli de pouvoir, plus qu'un homme, un être au dessus de la vie et de la mort. Le temps de se sentir amoureux, ennivré par cette femme que fut la douce Didyme qui m'apporta lumière et amour au point que j'aurai pu trahir son frère.
Je lui ai été reconnaissant, avant que la réalité ne me rattrape et que je la perde ma douce perle de la nuit. J'ai compris ce jour là que j'avais mis les pieds dans le monde le plus cruel qui soit, au delà de la violence des hommes. Là où le pouvoir et le sang sont seul maitre à bord, où je n'étais pas sûr d'avoir place surtout sans ma douce lumière. Malgré tout, je restais sans comprendre pourquoi, déprimant la majorité du temps.
J'ai traversé les âges aux côtés des Volturi apportant conseil et soutiens à mes frères. J'ai apprécié leur compagnie comme celles de femme, mais jamais je n'ai repris goût à la vie. Aucun jeu, aucune partie d'échec avec Caius, aucune conversation avec Aro, aucune douceur prise auprès d'une femme ne rapporta la joie en moi. Ma vie, ma joie semblait s'être arrêter le jour où j'ai apperçu le corps de ma première épouse, mon premier amour bruler.
Puis, il ya eu cette femme que j'aurai dû tuer par fidélité au clan Volturi, mais je n'ai pu m'y résoudre. Sa tristesse me toucha, il me sembla que la mienne la toucha aussi. Elle m'écouta, sans jugement, sans haine alors qu'elle aurait dû. Et je me sentis libéré d'un poid en lui parlant simplement de tout rien, pas forcément de mes problèmes. Je l'ai revu, plus d'une fois. Je n'étias pas amoureux d'elle, elle ne le semblait pas plus. Nous étions juste deux âmes perdus dans une atroce éternité qui avons trouvé du réconfort dans nos discussions. Une chose en entrainant une autre,nos corps se rapprochèrent plus d'une fois. Puis elle disparue, un long moment, ne revenant que bien plus tard  pour m'annoncer ma paternité que je n'eu d'autre choix d'accepter. Je ne resista guère, il faut l'avouer. La prenant sous mon ailes, lui offrant un appartement non loin de Volterra et ma protection. Elle avait été mon oreille attentive si longtemps, je lui devais au moins cette protection bien que j'eu des doutes sur le fait que l'enfant soit de moi.
Bien peu de temps après, la comète tomba sur terre me libérant de mon immortalité. Je dû fuir avec mes frères, je leur imposa la présence de ma chère amie dans notre fuite et leur lmaissa le déplaisir de découvrir l'enfant qui était le mien. Je ne pense pas que sa présence plus, mais cela m'importait peu je lui avait promis protection à elle et son enfant, je tiendrai parole.
Au début, l'humanité ne me rendit pas plus heureux. J'ai pensée au suicide, plus d'une fois, après tout j'étais redevenu humain, la chose était plus aisées. Je me souviens de cette nuit, seule où je n'avais vu ni mon fils, ni sa mère, où Aro et ses projet m'avait ennuyé, où Caius et sa déprime exaspéré. J'avais regardé les voiture, le train, les ponts avec un étran désir. J'avais faillit saute le pas, mes en fermant les yeux pour accomplir cette tache, j'avais entendu le vent souffler, l'avait caresser. J'avais ressenti les odeur, le toucher comme un humain avec bien plus d'intensité que lorsque que j'étais immortel. Le mieux fut les sentiments si humains de peur, d'excitation qui m'envahit. L'ennivrement fut tel que j'y pris goût, pour la première fois je m'étais senti réellement vivant et libre. La mortalité me fit envisagée le reste de ma vie plus sereinement. Moi qui avait souhaité mourir, choisi finalement de vivre ma vie d'humain pleinement aux côtés de mes frères. Les activités extrêmes devinrent mon passe temps, ainsi que l'écriture de quelques romans.
Quant à mon amie et son fils, ils sont resté à mes côtés, mais la passion entre elle et moi avaient disparus. Seul restait notre amour commun pour le garçon que nous élevons ensemble. Il m'aura fallut trois millénaire pour comprendre ce qui signifiait Carpe Diem, mais je ne suis pas prêt de l'oublier.

Votre pseudo : on me connait aussi sous le pseudo Paradoxe.
Vous êtes, une fille ou un garçon ? Fille
Votre âge : .
Comment avez-vous connu ce forum ? Il s'agit d'un dc, mais à vous de chercher de qui  
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